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Je Te veux, à genoux, devant mon désir,
Aimante et caressante, pour mon seul plaisir.
Tes mains, dans le moindre recoin explorent,
Tes lèvres parcourant chaque once de mon corps.
 Tes seins sur ma bouche, j’adore.
Ton sexe, sur mes seins, qui se frotte.
Mon gland, sous Tes lèvres se tend,
Et se joint à Ton clitoris gorgé de sang.
Sous cette caresse divine, Tu ondules et gémis,
Alors que Tes seins entre mes mains s’illuminent.

Vas-y descends encore que je puisse T’envahir,
Te perforer, Te labourer pour que nous puissions
jouir.
Ton corps glisse…. Jusqu’à mes pieds,
Ta main s’empare de mon membre érigé,
Que Ta langue vient par à coups titiller.

Allez, tournes Toi, et offres moi Ton coquillage,
Que je puisses aussi T’offrir ce doux hommage.
Que nous puissions ensemble nous délecter
Du nectar de l’autre que nous faisons couler.
 Mais Tu me veux en esclave
docile,
Mon dard entre Tes seins oscille,
Arrêtes, Tu me rends fou, et je ne réponds plus de
rien.
Ta bouche plonge, me suce, me tète, sans fin,
Un doigt au fond de mes reins, va et vient,
Oui, Tu me fais jouir, Dieu que c’est divin.

Merci, ma Belle, d’avoir été si douce,
Tout le plaisir qu’aujourd’hui Tu m’as donné,
Te sera rendu et par dix, multiplié,
Alors prépares-Toi, ma Douce.

Août
2002
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