Une nuit

 

 

Une douce lumière nous entoure,
Ton regard brûlant me découvre,
Nous sommes là tous les deux,
Enfin les yeux dans les yeux.

Ton corps qui se tend, brûlant de désir,
Je ne rêve qu’à te donner du plaisir,
Je suis tendu, sens comme je te désire,
Je meurs d’envie de te sentir, de t’envahir, de te faire jouir.



Mes lèvres, qui sur les tiennes doucement,
Ma langue, qui derrière ton oreille, sournoisement,
Mes mains qui caressent ton dos tendrement,
Te font vibrer et frissonner passionnément

Mes doigts emprisonnent et caressent tes seins,
Tes tétons surgissent dans la paume de mes mains,
Qui se dressent et durcissent, mais tu gémis !
J’aime voir ton corps se tendre et s’avancer sans un cri.

J'aimerai que tu ressasses mes mots,
Que tu ressentes mes gestes,
Chaque fois que tu lis, que tu te caresses.
Peux tu penser à ces moments de liesse.



Aimerais tu sentir maintenant mes lèvres brûlantes,
Ma langue humide et intrépide explorant,
Ce que mes mains ont osé découvrir et exposer,
Et que mes doigts ont pénétré, les sens-tu tourner ?


Enfin tu oses me demander, me supplier
par quelques mots à l’oreille murmurés
ces gestes qui vont te faire trembler.
Et surtout j’espère te faire crier.


Juillet 2002

 

 

 




Musique:

Le saint

Page créée le Jeudi, 12 septembre 2002

 

Révision : jeudi 03 octobre 2002 22:50:07 +0200.

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