Le rouge au front

Toi, oui Toi, tout ce que je veux c’est Toi,
Me sentir tout contre,
et au plus profond de Toi,
Avec tes jambes, telles des lianes, enroulées
autour de ma taille.
 Tu me donnes la fièvre, tu me consumes
dans mon corps, et dans l’esprit
Faisant affluer tout le sang de mon corps au
centre de mon pieu rigide.

Je te veux, et seulement Toi,
Pour te faire frissonner, te faire gémir,
t’envahir
Pour coulisser de plus en plus fort, pour te
fendre pour notre plaisir
Je veux te remplir, entrer et sortir pour que nous
puissions jouir.
 Peux tu sentir la douceur
de mes lèvres ?
Peux tu supporter l’agilité de ma langue ?
Peux tu sentir la chaleur de mes mains ?
Peux tu supporter l’agilité de mes doigts ?
Qui tour à tour te caressent et t’excitent,
Envahissent ton corps, et te câlinent,
Te couvrent de mille baisers, te lèchent
tendrement,
Doucement, délicatement et surtout passionnément.
 Que d’images
merveilleuses traversent mon esprit,
Je t’implore,
Je te veux
Je suis raide et brûlant pour ton plaisir.
Mon envie de Toi est la fièvre de mon jardin
secret,
Désirer connaître ton goût,
Sublimer la douceur de ton toucher,
S’enivrer de ton odeur, de ton parfum,
Se délecter de ta moiteur, de ta liqueur.
 Ce feu brûle en moi, et irradies autour
de moi,
Le désir de te posséder, passionnément envahissant,
Obnubilé dans l’attente que tu te donnes à moi,
Envoûté par le besoin de te sentir tout contre moi,
J’attends avec impatience ce moment,
De te communiquer tout mon désir ardemment.

|