


Une caresse sur l'épaule, qui descend le long du dos
et surgissent les frissons sous la douceur de ma peau.
La tension monte, pendant que nos deux cœurs s’emballent.
Relâchant des passions refoulées, nos désirs s’exaltent.
Mes doigts sont sur ton visage puis caressent tes cheveux
Derrière ton visage et ton regard au sourire radieux .

Lentement tu enlèves ma chemise, sous une averse de baisers
Nos langues affamées se livrent à un ballet effréné
Mourrant d'envie de nous découvrir mutuellement,
Nous sommes déchirés, entre le désir de prolonger ces instants
De savourer ces moments de désirs, ce plaisir de découvrir
Et le plaisir de succomber à ces moments d’éblouissements
De convoiter l’anéantissement, de se hâter d’exploser, de jouir.

Savourons notre désir, et laissons à nos mains la liberté de se découvrir
Est tu prête ? Mes doigts trouvent enfin la preuve de ton désir,
Je sais déjà ce que tu attends, je patiente jusqu’à ce que tu m’implores.
Sous mes caresses douces et chaudes tu commences à gémir et frissonnes
Et je joue de cette douceur, pour te faire surfer sur les vagues du plaisir.

Cette vague déferlante te soulève de plus en plus vite, et sous mes baisers
Tes gémissements de bonheur, l’accompagnent de leurs mélodies
et lorsque chaque vague se brise tu exprimes ton bonheur par ces jolis cris.
Jusqu’au moment où ces contractions, ces palpitations te hissent, ma jolie.

Inondée de sueur, haletante, Tu gravis avec avidité les sommets du plaisir
Et lorsque enfin tu y aboutis, avec tes contractions de bonheur, tu me hisses
Aussi au sommet de mon désir, pour jouir ensemble de ce feu d’artifice.
Et c’est au bout de cette magnifique ascension, lorsque nous avons réussi
Que nous pouvons enfin nous reposer, toute notre énergie dépensée
Tendrement enlacés, doucement embrassée caressée et choyée
En attendant que redescende ta sensibilité, pour renaisse ta sensualité.

Une dernière caresse sur la peau, un sourire au fond de tes yeux
La tension diminue, nos deux corps se détendent, heureux
Les yeux dans les yeux, au rythme de deux cœurs à l’unisson,
Unis et soudés vêtus de notre nudité que nous apprécions,
Dérivons ensemble après un dernier baiser,
Dans la nuit la plus douce, puisque je serais à tes cotés.


 
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